Connexion

Autres

11/01/2018 - Dossier Inserm

Publié le 11/01/2018

Sexe et genre : mieux soigner les femmes et les hommes

Il n'y a pas si longtemps, les barboteuses des bébés filles étaient systématiquement roses, celles des garçons, bleues. Eh bien ce stéréotype reste d'actualité. Par exemple, les maladies cardiovasculaires sont auréolées de bleu, l'ostéoporose est quasi 100 % rose !

Bilan : diagnostic, prise en charge, traitements sont conçus pour une moitié de l'humanité, sans tenir compte de l'autre. Or, femmes et hommes sont différents tant au niveau biologique que dans leurs représentations sociales et culturelles, leurs modes de vie ; ces deux aspects, respectivement "sexe" et "genre", interagissent en permanence. Rien de surprenant donc à ce que les maladies s'expriment différemment et qu'il faille tenir compte de cette variabilité pour soigner l'ensemble de la population.

Une évidence qui peine pourtant à trouver un écho chez les chercheurs et les médecins. C'est pourquoi, dans le cadre de ses Journées recherche et santé (JRS), l'Inserm organise un colloque international sur le thème "Sexe et genre dans les recherches en santé : une articulation innovante", le 23 novembre à l'hôpital Necker-Enfants malades à Paris. L'objectif : mieux soigner les femmes et les hommes.

Consulter le magazine en ligne


Consulter

04/09/2017 - Dossier Inserm

Publié le 01/09/2017

Antibio-résistance : la guerre est déclarée !

Depuis la découverte de la pénicilline, le premier antiobiotique, en 1928 par Alexander Fleming, les bactéries n'ont eu de cesse de résister. Or, antibiotiques et bactéries résistantes sont partout : à l'hôpital, mais aussi dans le monde animal, et même dans l'eau des nappes phréatiques. Autant de milieux où les bactéries renforcent leur arsenal.

D'où la nécessité de lutter contre cette antibiorésistance galopante selon le concept One world, One health, littéralement "un monde, une santé".

En France, c'est dans cet esprit qu'en novembre 2016 une feuille de route interministérielle a été publiée afin de diminuer la consommation d'antibiotiques de 25 % d'ici 2018 et de réduire les conséquences sanitaires et économiques de l'antibiorésistance. Une feuille de route à laquelle est associée le deuxième plan Ecoantibio cantré sur la santé animale. Des défis ambitieux pour un enjeu colossal : éviter qu'une simple plaie devienne une maladie grave.

Consultez le magazine en ligne


Consulter

18/07/2017 - Dossier Inserm

Publié le 18/07/2017

Fertilité : nos générations futures en danger ?

Les consultations de couples confrontés à l'infertilité augmentent de plus en plus en France et dans les pays industrialisés, à l'instar du nombre de naissances rendues possibles grâce aux techniques d'assistance médicale à la procréation (AMP).

Notre fertilité serait-elle en berne ? Et pour quelles raisons ?

En dehors des causes génétiques ou infectieuses, le changement de notre mode de vie, le recul de l'âge de la procréation, les cancers, l'obésité, la consommation de tabac, d'alcool et autres drogues, ou encore la pollution sont régulièrement incriminés...

Consultez le magazine en ligne


Consulter

16/06/2017 - Dossier Inserm

Publié le 16/06/2017

Sommeil : la santé vient en dormant

Nous consacrons un tiers de notre vie à dormir. Le sommeil apparaît indispensable à une bonne récupération physique. On sait aussi depuis peu qu'il est nécessaire à l'apprentissage. 

Mais que ce passe-t-il dans notre cerveau après l'endormissement ?

A l'occasion de la 17ème Journée nationale du sommeil, organisée le 17 mars 2017 par l'Institut national du sommeil et de la vigilance (INSV), le magazine Science & Santé fait le point sur les dernières découvertes qui lèvent peu à peu le voile sur le rôle des différentes phases du sommeil, qu'il soit léger, profond ou paradoxal. L'occasion également de décrypter les répercussions, à moyen et long terme, d'une altération du sommeil sur la santé.

Consulter le magazine en ligne


Consulter

24/02/2017 - Dossier Inserm

Publié le 24/02/2017

Maladies auto-immunes : dompter le système immunitaire

Les maladies auto-immunes sont dues à des dysfonctionnements du système immunitaire, conduisant ce dernier à s'attaquer à tort à des composants de l'organisme. Face à ces maladies, l'enjeu pour les médecins et les chercheurs est d'arriver à contrôler le système immunitaire tout en conservant sa fonction normale.

Pour nous protéger efficacement contre les agressions extérieures, le système immunitaire doit faire la différence entre les intrus qu'il doit éliminer, et les composants de l'organisme qu'il doit ignorer. Cependant, il lui arrive de manquer de discernement. Il retourne alors ses armes anti-intrusion contre l'organisme, provoquant des maladies auto-immunes. Certaines lésions qui en découlent n'apparaissent que dans un seul organe ou tissu, comme dans le diabète de type 1 ou la myasthénie. D'autres affectent l'ensemble de l'organisme. C'est le cas du lupus érythémateux systémique.

Pour traiter ces pathologies, il s'agit d'identifier précisément les dysfonctionnements qui sont à leur origine, afin de les contrecarrer. Or l'affaire est complexe. D'une part, les attaques sont multiples. D'autre part, il faut parvenir à calmer le système immunitaire sans qu'il baisse la garde vis-à-vis des agents pathogènes...

Consultez le magazine en ligne


Consulter

Il n'y a plus d'articles

Publications